mardi 30 septembre 2008

Je suis ...

Parfois trop tight...



Souvent serein...



Et surtout malin !



:)

samedi 27 septembre 2008

Les tempêtes de 40 000 mains

C'est la deuxième tempête que je traverse en 247 000 mains. La première a durée 40 000 mains. La seconde dure déjà depuis 40 000 mains. J'attends qu'elle passe car elle modifie quelque peu mon moral et mon jeu. Après avoir analysé deux fois les 22 plus gros pots perdu dans cette tempête, une fois avec un pro australien de la NL200-NL400 qui joue 13/11 (loose TRES aggressif), RiverDuck sur Ongame, et une fois avec .i_am_all_in, un pro grec de la NL200 qui joue 15/3.5 (TRES tight-aggressif), nous avons constaté que j'avais commis à peu près 20% d'erreurs dû à la frustration et à l'énervement, à côté des 80% de "malchance" ou plutôt de variance. Ces tempêtes d'environ 40 000 mains se caractérise par une alternance de "up" and "downs" de taille équivalente.

Plus je traverserai de telles tempêtes, plus je les traverserai froidement. Cette deuxième m'a quelque peu bousculée puisque j'ai décidé de passer en NL200 (depuis 12 000 mains) pendant la tempête (la première tempête je l'ai traversée en NL50 avec des petits shots de NL100, la seconde en NL100-NL200).


Pourquoi ces tempêtes éclatent sur mon chemin ? Allez demander à Poséidon !

mardi 23 septembre 2008

Cloutier contre Harrington : lorsque l'intuition est nécessaire

Au No limit hold'em on est constamment face à des décisions. Et parmi ces décisions, il y a ce que j'appellerai LA décision :
  • preflop, que faire avec 100 blinds de tapis effectif face au 3ème raise (ou 4ème raise si on est le premier raiseur) quand on a KK ?
Ex. :
  1. Face au 3ème raise : Il raise 5 bb, je raise 15, il raise 45.
  2. Face au 4ème raise : Je raise 5 bb, il raise 13, je raise 35, il raise tapis.
Pour Harrigton, ce n'est JAMAIS une décision :
  • "I am not savvy enough to fold KK preflop and neither are you." (savvy = malin) Harrigton on Cash Games, Vol.1
Pour Cloutier, c'est LA décision :
  • "Where I was schooled in Dallas, the second raise would probably have been aces, and the third raise was like Ivory Snow: 99.9 percent aces. it's not AK in this situation, its aces." Championship No Limit & Pot Limit Hold 'Em
La question est équivalente à celle-ci :
  • [QQ,AKs] font-ils parti du range de l'adversaire qui me 3ème-raise ?
Harrigton pense qu'on est jamais assez malin pour répondre NON à cette question, c'est-à-dire pour réduire le range à une main ([AA]).
Cloutier pense qu'on peut répondre OUI.

En NL100 et NL200, je n'ai pratiquement jamais vu de joueurs sérieux, encore moins des rocs (PFR autour de 3) partir preflop tapis 100bb avec QQ voire AKs, sauf éventuellement contre de gros donks cibles.

Ma réponse est donc celle de Cloutier, car en certains cas, par exemple contre un roc, on peut réduire le range de l'adversaire à une seule main, AA.

J'ai foldé plusieurs fois KK dans cette situation, mais j'ai l'ai tellement callé dans ces mêmes sitations alors que ma lecture fondée sur mon INTUITION du moment ne m'indiquait qu'une seule main, AA. Mon jeu aurait pu être plus optimal.

Je sais ce que répondrai Harrigton à Cloutier et moi, car il est tellement théorique qu'il n'oublie pas que :
  • Si l'on peux folder KK preflop sur une 3ème relance, alors, il existe une contre-stratégie gagnante chez l'adversaire pour nous battre : nous 3-raise lorsqu'on le 2-raise, car on aura pas assez souvent AA pour récupérer tous nos légitimes 2-raise.
Effectivement.
Mais ce que je répondrai à Harrigton est :
  • il est presque impossible, et surtout sur internet, de savoir qu'un joueur fold KK sur un 3-raise
Donc la contre-stratégie est presque toujours impossible.

Finalement, je pense qu'être face à un 3-raise quand on a KK reste toujours LA decision preflop.
Et cela sera d'autant plus vrai passé la NL200.

Donc l'intuition est et sera toujours nécessaire.

(On peut compléter notre analyse par http://pokerforums.fulltiltpoker.com/online-poker-play7909.html)

vendredi 19 septembre 2008

Les styles de jeu


Ces deux courbes juxtaposées représentent respectivement l'ensemble des mains jouées en NL100 par P.Sampras et Attract (P.Sampras joue actuellement en NL200). La juxtaposition des deux courbes a été adaptée aux échelles de chacune de telle manière que l'abcisse et l'ordonnée représentent respectivement le même nombre de mains et le même montant en dollards : une unité d'ordonné représente 405$ et une unité d'abscisse dans la première courbe représente 4500 mains, dans la seconde une unité d'abscisse représente 7300 mains mais est 1.6 fois plus longue que l'unité de la première courbe, donc l'abscisse est la même.

On observe dans la structure des courbes deux styles de jeu distincts.
  1. le premier est légerement plus gagnant (sa dérivée, c-à-d. sa "pente" est plus élévée) mais comporte légerement plus de variance (les "up-and-down" sont plus profonds)
  2. réciproquement, le second est légerment moins gagnant mais comporte un peu moins de variance : les "up-and-downs" sont moins profonds
Ces deux styles sont :
  • tight-aggressifs (15/3.5/2.5 (VPIP/PFR/AF))
  • le premier est tight-agressif-risqué-punissant : au sens où les overpaires et tptk sont très souvent 3 barréllées au risque de se faire quelquefois trapper, les pots sont donc en moyenne plus gros et les tirages à la turn toujours punis. Tant que l'adversaire ne montre pas de grande force, on lui exige de payer.
  • le second est tight-agressif-conservateur-contrôlant : au sens où les overpaires et tptk sont très souvent chéckés à la turn pour que la taille du pot reste stable, au risque de se faire bluffer de temps en temps et de ne pas systématiquement punir les tirages à la turn. On anticipe le possible trapp en contrôlant la taille du pot pour que l'éventuel trapp ne coûte pas trop cher.
J'ai constaté ces différences par l'expérience du jeu avec P.Sampras, car j'ai assisté à beaucoup de ses sessions.

Le respect que je porte à la géométrie du jeu (voir mon ancien post "La géométrie du jeu") et donc au principe du "pot control" m'impose un style conservateur-contrôlant.

J'avance à pas plus lent mais cela fait le bonheur de mon rythme cardiaque !
Merci P.Sampras pour ce que tu m'a appris de ton style.

jeudi 18 septembre 2008

La vague scélérate (par Attract)

Les vagues scélérates sont des vagues océaniques très hautes, soudaines et qui étaient considérées comme très rares, même si aujourd'hui on sait qu'elles apparaissent pratiquement au cours de toutes les tempêtes d'une certaine importance.

J'ai été surpris par l'arrivée d'une telle vague aujourd'hui, troublé et fasciné par sa puissance. Elle détruisait toutes mes actions, mêmes les plus fines. Elle a créé en moi des prises de décision non optimales qui m'ont coûté quelques forces. Elle a anéanti une partie de mon navire mais je l'ai traversé la tête haute. Elle ne m'a pas tué et j'en sors plus expérimenté donc plus fort. Le navire reconstruit, je poursuis ma traversée en mer.

La voilà, elle est puissante et belle.

-4 caves en 3000 mains avec une variance de +5 caves en 1000 mains et -9 caves en 2000 mains...


Cette vague scélérate est la fluctuation la plus brusque que j'ai subi dans ma traversée de 217 000 mains. La rencontre d'un tel monstre inconnu a dû me coûter 2 voire 3 caves d'erreurs qui ont marqué d'autant plus son passage. Maintenant armé de l'expérience d'une telle rencontre, je peux retraverser ce phénomène de la nature sans que ma concentration n'en soit atteinte.

La vague scélérate apparaît à la 212ème mille main.

mercredi 17 septembre 2008

Affronter Poséidon (par Attract)

L'intersection cadencée dans le temps de l'ensemble des cartes que l'on reçoit avec l'ensemble des boards qui apparaissent produit parfois des fluctuations naturelles qui s'apparentent fortement à la houle : la houle est un mouvement ondulatoire de la surface de la mer qui est formé par un champ de vent éloigné de la zone d'observation. Et le mouvement même de ces ondulations décrit une fractale approximative, c'est-à-dire une structure autosimilaire sur une échelle étendue, mais finie : comme par exemple la forme des nuages ou des réseaux de rivières.

La solitude du joueur de poker rappelle celle du navigateur en haute mer. Il doit affronter la houle et rester froid face aux humeurs de Poséidon.
Celui qui ne comprend pas la mer ne comprend pas le poker.

En septembre, je navigue en haute mer...


dimanche 14 septembre 2008

Passage à la NL200 depuis maintenant 38500 mains (par P.Sampras)


Après des débuts difficiles en NL200, qui ont vus mon winrate passer à 4bb/100 mains sur 20000 mains alors qu'il était de 11bb/100 mains en NL100, quelques adaptations me semblaient indispensables.
Et une particulièrement, celle du constat que les joueurs de cette limite sont craintifs et respectueux des mises éffectuées à la turn.
En NL100 un joueur qui nous "call" 3/4 pot au flop va quasi systématiquement "caller" 1/2 pot au turn ; ce n'est plus le cas en NL200.
De plus, j'ai observé de nombreux joueurs pratiquer un "call" au flop sur mon CB avec une petite/moyenne pocket pair sans avoir "breliquée" pour s'éteindre à la turn.
Il m'est donc arrivé souvent de perdre sur un pattern du type:

*pré-flop: je mets 4 blinds, il call
*flop: je fais CB 3/4 pot, il call
*turn: je check, il check
*river: je check, il check
*showdown: je montre hauteur A avec AK, il gagne avec 88(-- ) sec

Hummm, toujours rageant quand on sait qu'il aurait "folder" sur n'importe quelle mise à la turn ou à la river.
Le remède existe (dont le médicament qui porte le nom de Double Barrell) . Il y en d'autres heureusement pour mon rythme cardiaque!!

Si Attract se fait géomètre, j'ai bien le droit de me voir pharmacien!!

samedi 13 septembre 2008

Les 200 000 mains passées (par Attract)

Je viens de passer les 200 000 mains. Ca se fête ! Je reste en NL100 encore quelques semaines.

mardi 9 septembre 2008

La géométrie du jeu (1) (par Attract)

Avec l'expérience je me rends compte que le cash game est une forme de géométrie. Une géométrie intuitive dont la maîtrise nécessite l'expérience. Je m'explique. Chaque main jouée équivaut à une suite d'évaluation de grandeurs : bien jouer la main consiste, pour chaque moment du déroulement du coup, à évaluer une grandeur ou un rapport, suivant qu'on ait une main faite ou une main à tirage.
Traitons d'abord le cas des mains faites. Lorsqu'on a une main faite, on évalue, à tout moment du coup, la grandeur du pot que cette main vaut. C'est de la justesse de cette évaluation que dépend la bonne exécution du coup, puisque bien jouer le coup consiste à trouver la structure des mises qui conduit à la construction d'un pot de cette grandeur (ce que j'appelais dans un post antérieur l'espace-temps de la main est le quart de cette évaluation : c'est l'évaluation preflop). Cette évaluation est une fonction à quatres variables fondamentales (si on affine l'analyse on peut trouver d'autres variables secondaires mais tout aussi importantes comme le niveau du joueur, l'historique, etc.) : le range de l'adversaire r, la taille du tapis effectif s, la taille du pot p et le board b. Donc bien jouer un coup consiste à évaluer rapidement, à chaque moment du coup (preflop, flop, turn, river), la juste grandeur de x ; soit résoudre rapidement le système d'équations S suivant (les quatres équations correspondent respectivement aux quatre moments du déroulement du coup : preflop, flop, turn et river) :
  1. x = Ev(r,s,p,b)
  2. x' = Ev(r',s',p',b')
  3. x'' = Ev(r'',s'',p'',b'')
  4. x''' = Ev(r''',s''',p''',b''')
avec les ranges r diminuant (r' inclus dans r, etc.), les tapis s diminuant, les pots p augmentant et les boards b s'étendant.

Bien jouer une main faite m, consiste donc à trouver la suite (x,x',x'',x''') dans le temps, soit résoudre cet exercice de géométrie (ou d'algèbre de manière équivalente). Cette fonction existe (c'est un fait mathématique) et meilleur est le joueur qui la connais (et l'applique !) le mieux.

Pour trouver la fonction Ev, on doit d'abord trouver la force f de sa main m, suivant le board b :
  • F(m,b) = f
f varie dans l'intervalle [0, nuts] passant par faible, moyen-faible, moyen, moyen-fort, fort.
La fonction F obéit à un premier principe :
  • (Force) La force de sa main est relative au contenu et à la taille du board.
Par exemple, un brelan sur 4 coeurs est une main faible, un brelan sur un board permettant quite est une main moyenne, de même une quinte sur trois coeurs à la turn est une main faible. Une overpaire au flop est plus forte qu'une overpaire à la turn, etc.

Il suffit ensuite d'appliquer cette loi, qui peut être démontrée :
  • (Croissance) La fonction Ev est croissante suivant f.
Autrement dit, pour une main m donnée, et r, s, p, b fixés, plus f =F(m,b) augmente, plus x =Ev(r,s,p,b) augmente.
C'est ce que d'aucuns appellent le principe "petite main-petit pot/grosse main gros pot" (Skansky).
La croissance de Ev suivant f est linéaire.

La maîtrise du "pot control" essentiel au bon jeu dérive directement de l'évaluation du système d'équation S : c'est l'anticipation dynamique des valeurs futurs de x. Typiquement, on anticipe toutes valeurs possible de x''' connaissant la valeur de x'' : puisque x'' est relativement petit et que la plupart des rivers ne changera pas la force de ma main m, x''' sera aussi relativement petit donc je checque la turn pour préserver la taille de x'' et approcher celle de x'''.

J'ai décortiqué le processus d'évaluation géométrique ou algébrique qui se déroule à chaque exécution de coups joués. Evidemment, cela se fait très rapidement et avec le temps, de manière quasi-automatique.

L'évaluation des rapports dans le cas des mains à tirage fera l'objet d'une prochaine analyse.
En attendant, souvenons-nous de l'inscription gravée à l'entrée de l'Académie de Platon :

"Que nul n'entre s'il n'est géomètre."

dimanche 7 septembre 2008

Au delà de l'argent (par Attract)

Je joue maintenant 6 heures par jour minimum. Le cash game est devenu mon métier car c'est mon unique source de revenus. Mais au delà de l'argent, ce qui m'accroche à ce jeu est ailleurs. L'adrénaline, l'amour de la stratégie, l'indépendance et surtout l'évaluation de mes propres forces et de mes limites dernières. Donc je ne peux plus reculer, je dois gravir les limites jusqu'à atteindre mes propres limites. Car le poker est un sport mais surtout un art.
Depuis le mois d'avril, j'ai passé la NL10, la 25, la 50 et aujourd'hui je parcours la NL100. La NL200, la 400, la 600 puis la NL1000 sont devant moi, je devrai les parcourir. La progression est (et sera) exponentielle mais le combat est de plus en plus dur. C'est ce qui fait le charme de ce combat : ce qu'il offre est à la mesure des forces déployées. Ce sont les conditions de mon combat : me mesurer contre moi-même. Le poker est pour moi un outil d'expression qui me permet d'imposer au chaos la juste forme qui procède de ma vision. Dessinateur j'ai été et je resterai.



lundi 1 septembre 2008

Le théorème de la position : "Jouer en position augmente la cote implicite" (par Attract)

On avance souvent que jouer en position est avantageux car il permet de prendre de l'information sur le jeu de l'adversaire, autrement dit de spécifier ou diminuer son range et de voler les petits pots lorsque l'on constate de la faiblesse, ce qui est le cas. Mon expérience en cash game m'a fait sentir que ce ne sont pas en réalité pas les raisons fondamentales de l'avantage de la position. C'est en fait une question de cotes implicites (l'argent que l'adversaire met dans le pot une fois que notre tirage est tombé). En effet j'ai compris que jouer en position augmentait la cote implicite de manière conséquente, donc fait gagner bien plus d'argent. Je formule cette loi en un théorème, car il s'agira ensuite de la prouver :
  • [Théorème de la position] Jouer en position augmente la cote implicite.
Démonstration : Il suffit de montrer que lorsqu'on n'a pas la position lorsque l'on joue un tirage, on perd en cotes implicite. De deux choses l'une : soit on check-call/bet un tirage soit on le bet-call/bet. C'est-à-dire soit on check-call le tirage (le check-call peut être simplement un check) puis bet lorsqu'il tombe (voire check-raise si on est à la turn), soit on bet le tirage (voire bet-call si on est raise et qu'on a les cotes) puis bet s'il tombe (voire check-raise si on est à la turn).
  1. Dans le premier cas, c'est-à-dire le check-call/bet, on représente un tirage (puisque check-call) et donc les cotes implicites diminuent vu le théorème de Sklansky "les cotes implicites augmente à mesure que le tirage est dissimulé" (intuitif). Aussi, le bet quand le tirage tombe laisse bien jouer l'adversaire car on ne le laisse pas miser ou raiser avec le moins bon jeu, juste caller, donc les cotes implicites diminuent car, 98% des fois, elles sont au plus égales à la taille de notre bet. De plus, le check-call ne contrôle pas la taille du pot car il laisse l'adversaire décider de la taille du bet. Enfin, le check-raise for induce quand on touche laisse l'adversaire checker derrière donc bien jouer, donc les cotes implicites diminuent.
  2. Dans le second cas, c'est-à-dire le bet-call/bet, si on est raise trop fort quand on bet, on ne va pas caller car pas les cotes et donc on s'évite de toucher donc moins de cotes implicites car moins de situations de toucher son tirage. Et pour la même raison que dans 1, le bet quand on touche diminue les cotes implicites. Aussi, si notre tirage n'est pas max, on se met dans une situation où on commet une erreur en callant un raise quand on a touché notre tirage non max (en position le call évite cette erreur).
Evidemment, en position, la cote implicite augmente car on évite ces patterns hors-position mais aussi car : on peut raise pour la turn gratuite et pour dissimuler son tirage, créer l'erreur car quand on touche, si on value bet après son check, il peut faire l'erreur de caller en nous mettant sur des outs fantômes; et si on raise après son bet, il peut caller un moins bon jeu si on lui laisse de bonnes cotes du pot.

Donc le limpe 78 suited UTG n'est pas de mise les amis :)

Mon passage au live (par Attract)

Je reviens tout juste de mes vacances à Nice et Aix-en-Provence où j'ai entres autres (plages, sorties...) paufiné mon jeu en live : j'ai joué (en la compagnie de Mika alias Bidjit) entre 15 et 20 heures (environ 2h par session) aux casinos d'Aix et de Nice pour des gains nets de 1640 euros qui m'ont permis de profiter à fond de mes vacances. Je me sens maintenant très à l'aise aux tables de cash en live et j'ai constaté que le niveau en live est plus faible que celui d'internet. Et à cela s'ajoutent d'autres paramètres qui enrichissent le jeu live et complètent la froide stratégie mathématique du net. J'ai accumulé beaucoup d'heures de live en jouant dans différents casinos de Vegas et de France : le Flamingo (Vegas), le Planet Holywood (Vegas), le Barrière de Deauville, le Barrière de Nice, le Partouche d'Aix, le Barrière d'Enghein.

Dorénavant je passerai plus de temps en live que sur le net, car mon objectif est de jouer aux plus hautes limites live...
Avec mes 200 000 mains de cash jouées sur le net, le multitabling cash game online a été pour moi un centre de formation de qualité.

Rasons les cercles et casinos de France ! :)